Egypte

Le président égyptien Abdelfattah al-Sisi et le commandant de l'armée de l'air, Mahmoud Fouad Abdel Jawad, devront se rendre dans la capitale française à Paris en ce mois de juin pour concrétiser un « contrat militaire » consacré notamment à l'achat d'un « Satellite Airbus pour l'armée égyptienne ». Ceci intervient, après le défilé d'autres officiels venus du pays de pharaon à l'Élysée dont le ministre égyptien de la Défense Mohamed Ahmed Zaki, pour amorcer la démarche. France-Egypte, un partenariat stratégique Les relations bilatérales entre les deux pays sont au beau fixe. Le passage du président al-Sisi au sommet de Bourget du 22 au 23...

Déterminée à réduire ou à stopper complètement sa dépense au gaz en provenance de la Russie, l'union européenne s'est tournée depuis le début de la crise russo-ukrainienne à l'exportation de l'Ukraine en passant par l'Egypte. C'est d'ailleurs ce qui sera à l'ordre du jour d'ici le 12 juin des échanges entre le secrétaire général de l'East Med Gas Forum (EMGF), l'Egyptien Osama Mobarez qui doit se rendre en Belgique pour rencontrer Ditte Juul-Jorgensen, directeur général de l'énergie de la Commission européenne. Le protocole d'accord Signé depuis le 15 juin 2022, une année après sa signature, le protocole d'accord gazier tripartite UE-Egypte-Israël semble être une...

Personne ne l’ignore… L’entrepreneuriat vert est salutaire pour la planète à cette ère où le monde se meurt car coincé par les effets du réchauffement climatique. En lieu et place de soutenir les entrepreneurs dans ce secteur, l’UE traine encore les pas, le cas palpable étant celui de Scatec, qui a besoin de 40 millions d’euros, pour financer son projet de production de l’hydrogène vert… Pourquoi l’UE rechigne-t-elle ? Alors qu’en « 2030, l’hydrogène pourrait équiper plusieurs millions de véhicules dans le monde », prévient le Journal sciences et technologies, plusieurs projets de fabrication et production de l’hydrogène peinent à intéresser plusieurs bailleurs...

Les répercussions du conflit au Soudan se font sentir dans un environnement déjà instable pour le gouvernement égyptien, qui est encerclé par la pression de ses créanciers et le poids de sa dette. Ce dernier représente actuellement 93% du PIB national. Avant de débloquer la deuxième tranche du prêt de 3 milliards de dollars accordé par le FMI en décembre 2022, la Banque centrale d’Égypte a émis 1 milliard de dollars de bons à taux variable début mai. Cette stratégie a jusqu’à présent alimenté la spirale de la dette et augmenté la probabilité de faillite. Le déclenchement du conflit au...