Le président Emmanuel Macron a provoqué un « grand effacement de la France ». La France subit un « recul » non seulement dans sa propre nation, mais également en Europe, en Afrique et dans le reste du monde. Il ressemble à la dislocation du pays ou au délabrement de l’État.
En Afrique, Emmanuel Macron mène la France au chaos
Le président Macron a du mal à communiquer avec les gens sans les « offenser ». Son groupe et lui font face à un problème réel de communication. Quand ils agissent, leurs actions aboutissent au contraire de « l’effet recherché ».
La politique française en Afrique devient de plus en plus « intenable », suite à cette situation. La situation demeure préoccupante et la France devient une « bête à abattre ». Les bêtes à lapider n’est rien d’autre que la France et son président Emmanuel Macron. La France est paralysée et désignée comme « persona non grata » en Afrique et étant donné que l’Union européenne n’a aucun pays qui peut exercer son droit de véto au Conseil de sécurité (CS), à part la France ; la survie de l’Europe est en danger. Et ce qui se passe aujourd’hui en Afrique de l’Ouest, où la haine envers la France est alimentée, alimentera l’hostilité de la génération future africaine envers les Européens, en particulier les Français.
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En Afrique, l’objectif non-dit de politique étrangère de Washington est de sortir la France du continent Africain. Les Etats-Unis et l’Italie font tout pour salir la France en Afrique même si on ne peut pas ignorer les dérives coloniales françaises en Afrique. « Les Etats-Unis sont en guerre contre l’Europe et l’Afrique. C’est un acte de guerre économique ». Sur terrain, l’Italie avec la première ministre Meloni et le secrétaire d’État américain Bliken, la politique de diviser pour mieux régner va de très bon train. Macron est trop mal vu en Afrique de l’Ouest et même, il est accusé par les États-Unis et l’Italie d’exploiter les enfants mineurs dans des mines d’or au Burkina Faso. Washington a réussi à infiltrer l’Europe et entrer dans plusieurs gouvernements et chefs d’Etats corrompus pour faire asseoir sa politique de conquérir son hégémonie sur le continent noir et sur l’Europe.
Le président français, Emmanuel Macron n’est pas en mesure de « comprendre comment son pays est méprisé ». La France, poussée à la sortie en Afrique de l’Ouest militairement (Burkina Faso, Mali et Niger) est rattrapée par la « guerre de langue ». « Rejet de la France ! Rejet du français ! Je ne veux plus parler ta langue, dégagé ! »
Les liens entre Paris et les trois pays du Maghreb central (Algérie, Tunisie et Maroc) se sont considérablement détériorés, au point que l’usage et l’apprentissage de la langue française sont de plus en plus méprisés.
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Emmanuel Macron précipite les Européens dans une guerre totale contre la Russie en Europe
Il est temps que les Français se mobilisent contre les efforts d’E. Macron pour les impliquer complètement dans une guerre qui ne les concerne pas, car il s’agit d’un conflit exclusivement russo-ukrainien qui vise à établir des frontières plus respectueuses entre les populations que le découpage arbitraire décidé par Khrouchtchev en 1954. Ce qui mettrait en jeu la vie des enfants européens et du monde.
L’Ukraine n’a jamais été alliée de la France dans l’histoire et elle ne fait actuellement ni partie de l’UE ni de l’OTAN. La guerre Russie-Ukraine n’est qu’une internationalisation du conflit entre les minorités russophones de l’est et le pouvoir central de Kiev, car les accords de Minsk n’ont pas été respectés.
Les accords de Minsk, une « occasion de paix manquée »
La France aurait dû rester neutre et devenir un intermédiaire de paix comme l’a fait Nicolas Sarkozy lors de la guerre Russie-Géorgie de 2008 pour éviter d’impliquer la France dans cette guerre et aider le peuple ukrainien et russe. Les Accords de Minsk du 5 septembre 2014 (Minsk 1) puis du 11 février 2015 (Minsk 2) constituaient une solution crédible pour un règlement pacifique de la guerre dans le Donbass.
Le gouvernement ukrainien, influencé par les États-Unis et l’Union européenne, a refusé d’appliquer la partie politique de l’accord et a tenté de reprendre le contrôle des provinces sécessionnistes par les armes, ce qui a entraîné une intensification des combats et l’entrée en guerre de la Russie.
La France, l’Allemagne et l’OSCE, qui ont supervisé les négociations de Minsk et en étaient les garants, n’ont pas incité l’Ukraine à appliquer rapidement les accords, tandis que les États-Unis la poussaient à être intransigeante, ce qui conduisait inéluctablement à la reprise de la guerre.
« Il n’y aurait pas eu de guerre si la France avait fait son travail correctement ! »
La politique de guerre de Macron ne favorise pas la paix, elle prolonge inutile une guerre et contribue à la ruine de la France et des Français. Ruine de leurs entreprises en Russie : fin 2021, les échanges économiques entre la France et la Russie étaient supérieurs à ce qu’ils avaient été avant les sanctions en 2014. La France, qui était le premier employeur étranger en Russie, était la seule nation européenne à avoir une balance commerciale excédentaire avec la Russie. Les entreprises les plus importantes en Russie étaient Auchan (qui avait des revenus de 356,1 milliards de roubles), Leroy Merlin (226,7 milliards de roubles), Renault (126,2 milliards de roubles), Danone (116 milliards de roubles), L’Oréal (50,3 milliards de roubles), Sanofi (48,6 milliards de roubles) et Schneider Electric (46,5 milliards de roubles).
Toutes ces entreprises ont subi une perte sèche de leurs investissements en raison du retrait de Russie décidé par la Commission européenne.
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« La perte des investissements, des activités en Russie et des bénéfices futurs aggrave le déficit de la balance commerciale française ».
Les Français ont déjà subi des privations importantes en raison de la prolongation des sanctions de l’UE : une forte inflation, une augmentation des prix des énergies qui oblige certains à grelotter dans leur logement cet hiver, une destruction de l’agriculture française par les importations ukrainiennes de blé et de poulet, des milliards d’argent magique envoyés en Ukraine alors qu’il n’y a presque rien pour les agriculteurs français, l’hôpital, la police, la justice …
Et Macron souhaiterait maintenant imposer l’impôt sur le sang aux Français, en envoyant leurs enfants au front !
Emmanuel Macron met en péril l’existence même de l’ensemble de la population française!
« Aujourd’hui plus qu’hier, les intérêts vitaux de la France ont une dimension européenne”, a déclaré le président français. Ainsi, l’existence de nos forces nucléaires assure la sécurité de la France et de l’Europe », sous-entendant qu’elles peuvent être utilisées en dehors de toute menace directe contre le territoire national européen. Macron a mis en péril l’existence même de la population française en détournant la mission des forces nucléaires françaises, qui ont été créées par De Gaulle pour protéger l’indépendance et l’intégrité nationale de la France !
Emmanuel Macron a évoqué la possibilité « d’envoyer des troupes occidentales au sol en Ukraine » lors de la conférence internationale de soutien à l’Ukraine à l’Élysée, déclarant que l’envoi de troupes occidentales à l’avenir ne pouvait être exclu : « Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre ». Il ne faut pas exclure quoi que ce soit. Tout est possible si cela nous aide à atteindre notre objectif. »
Mais quel but basé sur la tromperie ?
Les propos d’E. Macron et/ou la position de la France vis-à-vis de la guerre en Ukraine ont poussé à « l’isolement international » de la France.
Les propositions belliqueuses d’Emmanuel Macron ont été contredit par tous les dirigeants de l’UE.
« Nous ne sommes pas d’accord », a tranché, la porte-parole de l’exécutif espagnol, Pilar Alegría.
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Olaf Scholz chancelier allemand a affirmé : « Ce qui a été décidé entre nous dès le début continue à être valide pour l’avenir », à savoir « qu’il n’y aura aucune troupe au sol, aucun soldat envoyé ni par les États européens, ni par les États de l’OTAN sur le sol ukrainien ».
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré que son pays « n’envisageait pas d’envoyer ses troupes en Ukraine ».
Ulf Kristersson, Premier ministre suédois, a affirmé sur la chaîne publique suédoise que l’envoi de troupes en Ukraine n’était « pas du tout d’actualité ».
Mark Rutte, Premier ministre néerlandais : « La question de l’envoi de troupes au sol n’avait pas été à l’ordre du jour ».
Prague a également réfuté la proposition aventureuse d’E. Macron.
Rishi Sunak, Premier ministre britannique, a précisé : « Un petit nombre de personnes envoyées par Londres se trouvaient déjà sur place pour soutenir les forces armées ukrainiennes, notamment en termes de formation médicale ».
Mais : « Nous ne prévoyons pas de déploiement à grande échelle ».
Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a également réfuté toute idée d’implication directe de l’Alliance atlantique dans les combats en Ukraine. « Les alliés de l’OTAN apportent un soutien sans précédent à l’Ukraine. Nous le faisons depuis 2014 et nous avons intensifié nos efforts après l’invasion à grande échelle ». « Mais il n’est pas prévu que des troupes de combat de l’OTAN soient présentes sur le terrain en Ukraine. »
Jean-Luc Mélenchon : « La politique étrangère de la France est faite de dérapages incontrôlés et d’annonces fantasques… L’envoi de troupes en Ukraine ferait de nous des belligérants. La guerre contre la Russie serait une folie ». « Il n’est pas question de faire la guerre ».
« La totalité des alliés ont affirmé qu’ils ne voulaient pas participer ».
« Nous ne sommes ni Ukrainiens ni Russes, et ce n’est pas vrai, contrairement aux surenchères verbales sur le sujet, que nous sommes menacés dans toute l’Europe ».
Et Mélenchon met en garde contre « une escalade dont personne ne connaît l’issue », et son groupe La France insoumise a réclamé « que le Parlement soit saisi sur l’ensemble de la stratégie en Ukraine ».
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Olivier Faure premier secrétaire du Parti socialiste a critiqué « l’inquiétante légèreté présidentielle », et estimé : « Soutenir la résistance ukrainienne, oui. Entrer en guerre avec la Russie et entraîner le continent. Folie ».
Marine Le Pen s’est indignée : « Emmanuel Macron joue au chef de guerre, mais c’est la vie de nos enfants dont il parle avec autant d’insouciance. »
Le seul combat qui vaille est celui de la paix. Au lieu d’armes, l’Union européenne devrait envoyer des diplomates pour ouvrir des discussions directes entre la Russie et l’Ukraine.
Que faire d’E. Macron ?
Le président français devrait démissionner pour la paix en Europe et pour une nouvelle ère ou un renouveau pour la France. Il est impératif de recadrer E. Macron d’urgence afin de « mettre fin à une escalade verbale qui conduit l’Europe vers une guerre ouverte contre la Russie », mettant inutilement en danger ses soldats et même la population entière si le seuil nucléaire est atteint. « Un stratège compétent ne lance jamais une menace qu’il ne peut pas utiliser sans raison ».
Daniel MOMBELE
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