Le 19 avril 2023, l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) a adopté un projet de loi établissant des réservistes au sein de l’armée. Cette unité de la Réserve de Défense Armée (RAD) est sollicitée pour fournir une assistance temporaire aux FARDC.
Selon le gouvernement, cela vise à renforcer le système de défense nationale, avec un accent particulier sur la « fin de l’agression répétée du pays et le renforcement de la préservation de sa souveraineté et de son intégrité territoriale ».
Composition des effectifs
La Réserve de Défense Armée (RAD) est invitée à fournir à l’armée nationale un soutien provisoire. Selon la version initiale de ce texte, donc, ce corps sera composé de « personnel militaire à la retraite et d’anciens membres de divers services de sécurité ». En plus du service militaire contractuel démobilisé et des volontaires civils, la défense de la nation et de son intégrité territoriale contre l’agression ou la menace extérieure impliquera le service militaire contractuel démobilisé. Ainsi, certains membres des forces d’autodéfense présentes dans certaines régions orientales de la RDC pourraient être employés temporairement.
L’augmentation de l’organe militaire
L’administration de la Défense congolaise souhaite élargir considérablement l’armée. Il souhaite une transition rapide de 150 000 à 500 000 hommes. Le texte précise que des conditions strictes régiront l’entrée dans cet organisme.
Pour accéder à la réserve, il faut, entre autres exigences, avoir un caractère moral élevé et n’avoir pas été condamné pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité ou génocide. En outre, la formation et de nombreuses formes de formation sont nécessaires. Pendant la durée de leur service, les membres de cette organisation seront soumis à la discipline, à la loi et aux règlements militaires. Dans le même temps, la nation travaille sur plusieurs autres sites de construction.
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